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2016 |
cr, dah |
-20:00
Wired! groupe existant depuis 7 ou 8 ans. Travaille dans le domaine de l’histoire de l’art et de la culture visuelle sur des choses. À Duke University aime la manière dont la technologie permet d’interagir avec les choses.
Travaillé sur la modélisation et accroissement et changements. La modélisation du temps et des changements est vraiment un aspect révolutionnaire de ces nouveaux outils. Mais aussi cartographier appropriation coloniale des œuvres d’art. Pourquoi arrivées dans tel ou tel musées, etc. Visualisation qui peut s’avérer fascinante. Mais aussi la cartographie, par exemple pour le colonial. Plans géoréférencés pour mettre ensemble les artefacts archéologiques. Peuvent être requêtées.
11:10 Nous pensons que ces nouveaux outils ont le potentiel de révolutionner notre champs. Ils nous poussent aussi à nous engager plus directement avec les œuvres, dans les œuvres d’art. Nous ramène back to the work of art. Rend aussi l’histoire de l’art plus démocratique. Ne sait pas si peut le dire à haute voix, mais peut-être que la résistance de certains de nos collègues n’a pas rien à voir avec cet aspetc.
Possible d’engager le public avec ce qu’ils voit.
Reconstruction contexte ou dispositif original. Cartographie. Informations visuelles requêtables. Reconstruction et recréation œuvres détruites ou disparues.
Depuis le début groupe de Wired! s’est concentré sur l’enseignement et la recherche. Enseignement de la Renaissance, etc. en faisant. Modélisation en base de données, 3D, etc. Forme des Born digital connectés à des recherches à long terme de sorte qu’étudiants peuvent continuer à contribuer.
Pas forcément des historiens d’art mais deviennent meilleurs citoyens. Travaillent de manière étroite avec d’autres départements. Transferables d’autres domaines. Outils digitaux futur. Laboratoire à Venise.
Notre aventure digitale grande Plus à voir avec process que projets. But principal pas le produit. Plutôt savoir comment penser différemment et quelles questions nouvelles peut soulever en travaillant avec le numérique.
Modèle économique en lien étroit avec bibliothèque. John Taormina Collaboration avec le musées.
Sarah... http://nasher.duke.edu
20:00- Croit réellement que musées d’aujourd’hui et du futur bénéficieront beaucoup de la recherche que conduisez.
Musée financé en lien étroit avec un projet pédagogique. Incubateur au sein du musée.
Rick
29:40-40:04 Exposition New Whitney
« This is the cutting-edge, this is the future of academic scholarship. »
Nouveau bâtiment des arts 2018. Espaces prévus pour les nouvelles technologies.
Intéressant de voir comment nos collègues pré-modernistes sont leader sur la manière dont penser ces technologies et leur apport à l’histoire de l’art.
Pas seulement rechercher à faire un bon travail d’historien d’art mais aussi se demander comment peut être rendu accessible au public. Nouvelles technologies qui nous ouvrent à de nouvelles possibilités avec les réseaux sociaux, on-line curating, etc. Comment utiliser les technologies dans la classe pour travailler sur leurs idées, leur organisation et la curation.
Idée de cette conférence très liée à l’idée de visualisation. Visualisation d’œuvres du passées. Mais aussi présence des œuvres dans les expositions, etc.
Possibilités du big data en histoire de l’art.
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75 participants attendus, finalement dépassé toutes nos attentes 150 participants présents. Participants de colleges et universités, musées et bibliothèques, secteur privé, plus 50 institutions représentées, 20 états et 3 pays.
Intérêt étendu à DH et DAH.
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Invoquer œuvre de Gauguin Principe de base histoire de l’art invoquer objets. En même temps, personne ne sait ce que cette œuvre veut dire, ouvrir à des possibles.
Que sommes-nous ? Symposium à temps, histoire de l’art à un moment de transition. Digital art history grandit, embarquée par plusieurs centres de recherche.
Zorich soulignant manque de formation, support et plus largement ambivalence, voire rejet.
Getty, etc. Et plus grand engagement du domaine avec CAA. ThatCamp session avant la conférence il y a deux ans. CAA vient de publier avec la SAH guidelines pour évaluer digital scholarship et publication de recensions.
Première oportunités avec workshop. Voit émerger projets de recherche centrés sur des questions de recherche qui compte. Personnes présentes aujourd’hui bien placées pour articuler et débatre potentiel digital dans la discipline.
Where do we come from ? Regarder brièvement le passé pour envisager le future. Comment l’histoire spécifique de notre discipline correspond au numérique. Origines dans l’histoire orale, histoire du folklore.
- Alvin Langdon Coburn, Vortograph Gelatin Silver Print.
- James Valentine, Stonehenge, Lantern Slide, c. 1900
Quelle histoire alternative ? Celle de la reproduction mécanique : films, projections, expérimentation de la photo. Première adoption vidéo-recorder. Et inclure le travaille des groupes des musées.
Longue tradiction de réflexion sur ces questions. Rapports entre reproductions et originaux. Statut du medium, enjeux de la restauration, etc. Déplacement vers le monde digital ne fait qu’étendre la réflexion.
Où allons-nous ? Je crois à une vision de l’histoire de l’art numérique possible et désirable. Pour le moment largement l’utilisation d’outils. Déjà des résultats avec mobilisation de ces outils dans l’enseignement. Peut bénéficier directement usage "quick and dirty". Cf. Voyant tool.
The Network and Dealing of Augustus Egg, Tom Rosenblatt, 2016
Mapper les données dans Google map ou autres outils pour identifier des patterns.
Pas seulement outil, mais méthodes. Littérature significative sur l’analyse de réseau, etc. Peut en tirer profit. Travailler au développement de nouveaux outils et de nouvelle plateformes.
Advent du digital une invitation intellectuelle à penser de nouveaux moyens de production et de diffusion de la connaissance. Puissance de la computation est étonnante, prendre du temps pour voir ce que signifie.
Datification de tout. cf. Big data, Victor Meyer Schöneberg. Standardisation, catégorisation. Qu’est-ce qui est oublié dans ce processus de datification et qu’est-ce que les données.
Prémices : Tout est données. Ou alternativement tout peut être traité ou convertit en données. Mais abandonne certains aspects importants de la signification : ambiguité, moralité, esthétique, goût émotion ? Comment d’autre manière pourrions nous traiter des informations descriptives : textes, images, sources primaires, sources secondaires.
Autre problème, la question de la méthode en histoire de l’art. Explication de la méthode. Autres disciplines beaucoup plus clairement. Pas tous besoin d’avoir méthode, mais pourquoi ne le faisons pas. Ne dit pas que devrions tous avoir explication de la méthode dans nos articles, demande pourquoi ne le faisons pas. Après avoir soulevé la question à CAA et après discussions avec plusieurs collègues. À voir avec notre compréhension des œuvres et manière dont fonctionne les œuvres. Idées complexes et multivalentes. Travail qui doit atteindre même niveau de fusion de la signification. Croyons que l’objet lui-même comporte la clef de la signification. Ces deux positions sont relatives à ce qu’est une œuvre d’art et ce que signifie une œuvre et pourquoi elles sont importantes. très lié à ce que nous faisons.
Question de l’échelle très importante avec le numérique. Big data semble offrir moyen pour prendre en charge géographie, global, etc. Mais comme soulevé à CAA pannel, quel rapport en retour avec des questiosn comme... Terminologie chargée de l’objet. Potentiel que l’œuvre d’art doit ouvrir les fondamentaux de la discipline et du statut de l’objet. 59:54 Digital art history pas seulement à voir avec programmation, mais plutôt un engament intellectuel à l’égard des outils, moyens et signification. Réel potentiel de changer nos méthodes, mais aussi manière dont comprennons les œuvres. Aussi possibilité de changer manière dont comprend le numérique. Comment adopte ces méthodes et pratiques de manière critique et ainsi les changer.
Plutôt que de savoir si l’histoire de l’art peut être sauvée par le digital, est-ce que l’histoire de l’art peut sauver le digital ? cf. christopher
Théorisation du visuel. Peut-on avec visualisation aborder nouvelle manière le visuel. Close-reading et pratiques actuelles. Cost et bénéfices accès public. Quelles suppositions liées au numérique et comment penser des alternatives.
En quelle mesure pas ambivalent que de vouloir changer le numérique plutôt que d’être changé. Ou toujours faire cette discussion sur le fait que pas se mettre à la programmation mais penser le numérique.
Engagé sur GIS pour histoire holocauste
1:02 Summer school mapping.
Comment étendre processus de recherche et étendre nos questions de recherches. Collaboration avec collègue sur collaboration sur cartographie.
Rôle de l’industrie de la construction dans l’holocauste. Une histoire de l’architecture par dessous. Visualiser les preuves dans un environnement de cartographie.
Comment visualiser industrie constructive. Process, different meaning. Pas une seule source pour industrie constructive. Impossibilité de capturer différents types de situation. Mais GIS capaciter prendre en charge quantité.
Mais problème de la qualité des données. Comment prendre en charge tous les permis de construire depuis les archives. Impossible, et trop de trous pour rendre démarche viable. Trouver autre synthèse pour investiguer l’échelle du problème à la nature de la preuve.
Chaque mode d’analyse une sorte d’indexation de la réalité. Une prémice de l’histoire sociale de l’art. Comment articuler les deux possibilités ? Cartographie donner forme à connexion entre objets isolés et leur agrégation. Potentiel activateur ou inhibateurs de l’interprétation sociale. Donner forme au social. Donner possibilité analyse sociale.
Donne possibilité voir nouvelle manière histoire de l’architecture. 1ère guerre arrête toute activité. Radicalisation certains segments de la profession. Seulement quelques architectes capables de construire par accès a la commande par des particuliers fortunés. Changement seulement en 24 après arrêt de l’inflation.
Semble que devrait corriger cette vue schématique. Industrie qui n’interrompt pas en réalité leur activité. Tourner notre attention à production qui ne retient pas attention des histoiriens de l’architecture.
Exemple de journal de l’époque et challenge tourner cette information en base de données. Recours à ces journaux pour chercher informations ponctuelles, mais ne les emploie pas pour chercher grandes figures, et analyse quantitative.
Voulu construire base de données pour tenter de visualiser biais éditoriaux.
Deutsche Bauzeitung
Savoir quel type de bâtiment construit où et quand.
Une étude proportionnelle qui donne idée. Trop complexe de chercher ensemble des articles pour mensions. Extraction information seulement dans les articles majeurs et rapports de chantier. Construction analytique de la preuve plutôt que positivement.
Nom bâtiment, architecte ou firme et informations sur la nature éditoriale. Dates, localisation et typologie. Difficultés pour désignation des édifices, de même pour les lieux (utilisation atlas et cartes historiques). Ainsi création des entrées nécessaires pour catégoriser et trier les données.
Changement des types au fur et à mesure recherche pour rendre compte certains traits apparaissant. Ex. distinction musées et théâtres.
Comment faire avec incertitude sur les dates de construction. Par exemple pour construction long terme édifiées en section comme le métro. Comment capturer un building en cours quand aucune idée de quand commencé ou terminé. Obligé à revenir à idée de ce que voulait visualiser. Activité constructive et non pas informations sur bâtiment donné.
Critères d’ambiguité oui et non, insuffisant. Utilisé pour capturer choses qui auraient disparu. Soulève le problème qui intervient quand récupère information du flux continu du journal pour le traduire dans le langage numérique. Inadéquation du numérique de ce point de vue. Carte une représentation d’un narratif fausse. Un GIS distant de l’image réelle de choses. Compromised. Mais production de savoir analytique qui a une relation indexative avec le réel.
Malgré ces difficultés et ces problèmes, le processus de production de la base de données a fournit des informations utiles pour la recherche en histoire de l’architecture. Produit des informations nouvelles. Par exemple décentralisé de Berlin ou Weimar pour des lieux moins connus comme Forbach. Un des sites les plus référencés alors que pas de monuments. Fascination de la construction d’un système hydro-électrique. Utilisation massive de béton. Aspects nationalistes. Éléments ou matière noire qui nous aurait échappé si avait abordé la source autrement.
Engagement artistes dans pratique utopique. Mais beaucoup plus de micro-duration, et micro-archéologie. 1921 année importante de projets utopiques. Mais aussi une année surprenamment active pour la finalisation projets d’habitation. Après 1924, changement lois urbaines. Clusters en Saxe. Aller voir ce qu’il s’y passe. Projets qui ont construit la capacité statistiques, idéologiques, et pratique avant avant garde.
Process de revisitation de nos catégories d’analyse très liée à la construction de la base de données. Comment donner forme de manière utile dans la base de données. Visualisation et cartographie pour rendre compte espace et autres narratifs.
Building in time. Fait émerger autres aspects sur pattern typologiques qui nécessiteront plus de recherche. Engagement avec ces preuves digitales qui compliquent notre compréhension relation sociétés construction et histoire architecture de même que structures vernaculaires.
Engagement humanistes avec les sources numérique vont compliquer compréhension société et architecture. Pas représentation sociale complète, mais une possibilité de représenter ce qui sinon serait un chaos. Contribution but... Expension des DH mais concommitamment aussi accès aux sources. Accès et utilisation des sources historiques jamais été aussi facile. Archives digitales, etc. produisent de riches sources de preuves. Mais sélection problématiques, choix et limitation. En dépit complexité du monde et granularité. Sélection qui peut prendre forme du fait de la nature indexative de la production d’un plan.
1:29 Dorothy Wong